Lorsque Dage termine une toile, elle prend le temps de l’observer, de l’écouter.
Parfois, il suffit d’un instant pour la nommer.
D’autres fois, Dage installe les œuvres dans son environnement, pour les côtoyer, les faire respirer, les laisser vivre.
Pour créer un lien, une relation entre elle et ses créations. Comme si elles avaient quelque chose à lui révéler.
Et c’est uniquement à ce moment que la toile lui dicte son nom.
Bien plus qu’un simple titre. Des états d’âmes!